Ne jamais ralentir dans la poursuite de la cybersécurité au Canada – Mon Nord Mon Chez Moi
Mon Nord, Mon Chez-Moi

Notre Canada, notre responsabilité à tous

Jack Reid

Groupe Calian, Ottawa, Ontario

Mon Travail

c’est offrir une formation en cybersécurité

Ma Passion

c’est participer à bâtir un Canada plus sûr et plus sécuritaire pour les générations à venir

Ne jamais ralentir dans la poursuite de la cybersécurité au Canada.

Après avoir passé 26 ans en uniforme à titre d’officier des transmissions dans les Forces armées canadiennes, Jack Reid n’était pas prêt à abandonner la vie militaire après avoir rangé sa tenue de corvée. Pour Jack, la « retraite » n’était qu’un autre mot pour « évolution ».

Son expertise a toujours touché la formation, donc la transition vers la cybersécurité auprès du Groupe Calian, basé à Ottawa, s’est faite tout simplement.

Un modèle d’affaires surprenant a accroché Jack au moment où il envisageait les différents domaines où porter son attention et ses compétences. Chez Calian, assure-t-il, la satisfaction des employés est aussi importante que la satisfaction des clients. C’était un poste parfait pour un ancien militaire habitué à assumer un rôle de leadership qui dépend grandement du bon moral de l’équipe.

Aujourd’hui, Jack développe et coordonne les programmes de formation des officiers de la sécurité des systèmes d’information (OSSI) qui travaillent  dans les secteurs canadiens de la défense, de la sécurité ou de la technologie. Ces programmes leur enseignent comment détecter et prévenir les menaces comme les logiciels rançonneurs ou les attaques furtives.

« Je me suis concentré sur la recherche des bons experts qui pouvaient simplifier la formation et adopter une approche pratique. »

« Nous travaillons dans les locaux de nos clients avec l’équipement de nos clients pour donner notre formation, mais ce sont nos employés qui ont la compréhension et le savoir-faire qui est enseigné. Il est important de protéger cet aspect, pour nous assurer que nos clients reçoivent la meilleure formation possible. »

La plus grande notion que Jack et son équipe peuvent inculquer, c’est la sensibilisation à la sécurité et la préparation afin d’améliorer le caractère résilient d’une organisation. Qu’il s’agisse du ministère de la Défense nationale, d’une petite organisation ou d’une grande entreprise, les organisations doivent se doter d’un plan et de procédures visant à préparer et à prévenir les situations mettant en péril la cybersécurité, de même qu’à réagir et à remédier de telles situations.

« Grâce à mon expérience dans l’armée, j’avais une bonne idée du type d’enjeux auxquels nos OSSI seraient confrontés, explique Jack. Je me suis concentré sur la recherche des bons experts qui pouvaient simplifier la formation et adopter une approche pratique. »

Pendant que le paysage des menaces continue d’évoluer, à l’heure actuelle, l’une des attaques de logiciels malveillants les plus courantes que doivent combattre les Canadiens est celle des logiciels rançonneurs. Ces attaques sont réalisées par des logiciels ou des virus dont l’intention est de bloquer ou de publier les fichiers ou les données de la victime à moins qu’une rançon ne soit payée. Pour Jack, il est important que les OSSI développent une capacité innée à détecter tout un éventail de cyberincidents et à les régler rapidement.

Peut-être en raison de sa longue carrière dans l’armée canadienne, qui se concentre sur des instructions pratiques dans des environnements un contre un, Jack met aussi l’accent sur l’importance de préserver un apprentissage en personne, dans une salle de classe. Les programmes de formation qu’il développe rassemblent les étudiants et façonnent des OSSI qui sont sûrs d’avoir les outils nécessaires pour être des protecteurs.

« J’aime bien quand tout le monde dans une classe partage ses idées et ses expériences, ajoute Jack. Tout le groupe en profite et cela donne à nos OSSI la possibilité d’exceller. »

La défense sous toutes ses formes a toujours été au cœur de tout ce que fait Jack. Même dans ses temps libres entre les programmes de formation, lorsqu’il reconnecte avec ses racines écossaises par l’étude du maniement de l’épée à deux mains.

« C’est un excellent exercice! », dit-il en riant.